Lettre aux Elus suite à ma radiation de l'AGASC - Juillet 2010

Monsieur Michel HEBERT

129 Rue Pierre Lambert

06700 Saint Laurent du Var

 

 

 

 

Saint Laurent du Var, 5 Août 2010

 

 

Mesdames, Messieurs les Elus,

 

 

Plus que jamais déterminé à faire connaître la vérité, je vous adresse un courrier pour vous tenir informés comme je l’ai fait depuis un an qu’a démarré le conflit m’opposant au Maire et à sa compagne Marjorie REBEUH.

 

Dernièrement, j’ai reçu une lettre de Laurent BERAUD, m’avisant qu’à l’unanimité, le conseil d’administration a décidé de me radier des membres actifs de l’association. Je reprends ses termes « suite à la mauvaise gestion que vous avez conduite au cours de votre mandat de président de l’AGASC ».

 

Effacées mes nombreuses années de bénévolat au service de l’AGASC, effacé mon travail de président mené pendant des années à la satisfaction de tous, effacées mes multiples réélections à l’unanimité avalisées par le Maire… A partir d’un simulacre d’audit, on se borne à affirmer que pendant 9 années j’ai mal géré l’AGASC, je dirigeais à moi tout seul l’association, les membres du conseil d’administration, les directeurs, le Maire, ses Adjoints et les services de la Ville n’étaient au courant de rien, ne décidaient de rien ! Et bien sûr, pendant 18 mois qu’a duré la Délégation de Service Public du Tennis de Montaleigne, il en a été de même et donc le déficit du Tennis est le résultat de ma seule mauvaise gestion. CQFD … n’oubliez pas de plus que j’étais dépressif et que je perdais les pédales, dixit Henri REVEL !

 

Il faudra tout de même que les anciens membres du conseil d’administration m’expliquent comment, après avoir approuvé le bilan moral et financier à chaque assemblée générale, ils ont pu voter à l’unanimité ma réélection à la présidence de l’association pendant 9 ans jusqu’à la dernière assemblée un mois avant ma démission … et aujourd’hui voter ma radiation pour mauvaise gestion de l’AGASC.  Il est vrai que l’on n’en est plus à une contradiction près !

 

Je ne résiste pas au plaisir de citer un extrait du courrier « courageux » de Laurent BERAUD qui devrait apprendre à relire les lettres qu’il signe et faire attention à ce qu’il fait voter :

 

« Sachez que Monsieur Georges TONALI ayant votre pouvoir lors de l’assemblée générale ordinaire du 30 Juin 2010 s’est abstenu pour le vote du quitus au trésorier alors que vous avez géré ensemble l’AGASC du 1/10/2008 au 31/5/2010 »

 

Les comptes annuels présentés lors de l’assemblée du 30 Juin, concernaient l’exercice du 1/10/2008 au 31/12/2009.

 

Un : Je rappelle à Monsieur BERAUD que depuis Juin 2009, c’est lui le président de l’AGASC et que Michel BRICCHI est trésorier et non plus Georges TONALI .

 

Deux : Georges TONALI et moi-même avons estimé que nous ne pouvions voter le quitus pour des comptes annuels couvrant une période de plusieurs mois pour laquelle nous n’étions plus en charge de nos mandats respectifs et qu’il nous a été refusé de consulter les comptes détaillés des centres quelques jours avant l’assemblée.

 

Je vous rappelle qu’à ce jour, on ne vous a toujours pas démontré, comptes à l’appui, comment Marjorie REBEUH est devenue une gestionnaire hors pair ayant redressé avec brio le Tennis de Montaleigne.

 

En tant que directrice, ne devrait-elle pas personnellement venir vous présenter un comparatif de la gestion et des comptes du Club dans et hors DSP ?

 

Contrairement à ce que dit Henri REVEL qui lors du dernier conseil municipal, s’est étonné de cette demande répétée de la présentation des comptes par centre, il est essentiel que vous obteniez cette présentation des balances analytiques et le grand livre des comptes centre par centre.

 

Ce n’est qu’à partir de cette présentation qu’une juste analyse pourra être faite de la gestion du Tennis du temps de la DSP jusqu’à aujourd’hui avec la convention d’objectifs.

 

J’en profite pour renouveler ma demande de participation à toute réunion ou commission concernant l’AGASC en vous priant au nom de la justice la plus élémentaire, de relayer cette demande.

 

 

Dans cette attente, je vous prie d’agréer Mesdames, Messieurs les Elus, l’expression de mes sincères salutations.

 

 

 

 

 

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :